LE TENDER DE MA 150 P.O

A partir du N° 31 (jusqu’au N° 70), les 150 du P.O. furent mariées d’origine à un tender de 20 m3 à 3 essieux, le même que celui des Pacific. Parfait pour moi, qui ai choisi de reproduire la 150 A 040 époque SNCF : je peux ainsi me servir du tender Roco à 3 essieux qui attendait depuis des années dans un tiroir.      A noter que je n’ai pas représenté de réservoir-doseur TIA : au long des lignes parcourues par ces machines, l’eau n’était pas calcaire, mais silicieuses. C’est pourquoi elles n’en furent pas équipées. Le dépôt de Montluçon – plus important utilisateur de cette série à l’époque SNCF –  ne fut d’ailleurs pas doté d’installation TIA.

Arasage à la fraiseuse des reliefs sur le bloc en Zamac.

Ponçage des faces latérales.

Préparation et ajustement d’une « surcaisse », à partir d’éléments photogravés (lignes de rivets) retrouvés dans mes tiroirs à fourbi.

Découpe d’une large ouverture, de la forme du moteur Roco. Elle permettra un accès direct au câblage, et la pose d’un décodeur si ultérieurement le modèle doit en être équipé.

Récupération d’éléments sur un dessus de tender 18 C Jouef.

Confection d’un tas de charbon en polystirène, qui pourra facilement être creusé par dessous en cas de pose future d’un décodeur.

Pose de marchepieds type P.O. (Réf. M.T. march 05), et arasage par fraisage de cette partie sur le châssis Roco.

Montage provisoire pour essais.

Pose de main courante tout autour, de mains montoirs à l’avant, et de robinets de jauge à l’avant gauche, en fil maillechort dressé de 0. 4 mm et supports de mains courantes courts (M.T. Réf. div 96).

Pose par collage d’une bande de maillechort de largeur 2 mm sur les bords latéraux du châssis.

Le tender prêt pour la peinture..